Ensemble réussir Seyssinet-Pariset
Marcel Repellin, Ada Sadoun, Bernard Rostan, Françoise Guigui, Marc Paulin, Véronique Gonnet, Frédéric Battin, Christine Lancelon-Pin, Robert Occhino, Nathalie Toussaint, Laurent Braud, Karol Darmet, Gérard Dini, Valérie Dubouchet, Carmen Guglielmi, Dominique Maitre, Guillaume Spirhanzl, Yvan Mallier, Eric Lelièvre, Hélène Faure, David Drogo, Flore Dardet, François Tornabene, Patricia Gros-Daillon, Denis Jaglin, Margaux Fraile.
Certains dossiers portent des enjeux plus importants que d’autres en matière de développement communal et d’aménagement à moyen et long terme. Le dossier de réaménagement de la Fauconnière fait partie de ceux-là. En effet, ce centre commercial ou différentes activités publiques se sont implantées au fil du temps à l’exemple de la bibliothèque et du multi accueil La Terrasse, a été inauguré au début des années 80, époque où le commerce n’avait pas encore connu les évolutions des modes de consommation et l’apparition d’internet et du commerce en ligne.
Ce centre a été pendant de longues années un élément structurant de la commune avec sa surface commerciale et la diversité des activités qui s’y sont installées. En un peu plus de trente ans la
commune a connu une transformation au rythme des projets d’aménagement urbains qui confortent son caractère et sa place aujourd’hui au sein de la métropole et de la rive gauche du Drac.
L’objectif est par conséquent de poursuivre un travail engagé avec le Plan local d’urbanisme et dans ce cadre de réaliser progressivement la couture entre le secteur mairie et ses services avec un pôle de commerces de proximité positionnant la Fauconnière dans une nouvelle dynamique.
C’est un enjeu pour conforter un véritable pôle de vie dans la continuité des actions que nous menons au travers de l’agenda 21 de la commune afin de préserver des équilibres auxquels toutes
et tous nous sommes attachés et qui font la richesse et la qualité de la vie sur notre commune.
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Un nouveau souffle pour Seyssinet-Pariset
Guillaume Lissy, Béatrice Serbource, Muriel Barbieri, Sylvain Prat, James Capoccioni, Hervé Doulat, Noël Margerit.
On peut parfois râler, c’est vrai, contre les 30km/h, qui sont désormais la règle générale dans notre agglomération. Mais si certains s’interrogent sur la pertinence de cette limitation et sur notre
capacité à la faire respecter, beaucoup, plus nombreux encore, continuent de se plaindre de la vitesse excessive pratiquée par quelques uns dans nos quartiers. Les rues de l’Industrie, du Progrès, de la République, la route de Saint Nizier et bien d’autres axes restent en effet des défouloirs ou des échappatoires. Ceux qui les empruntent à toute vitesse, pour gagner un peu de temps, pour éviter un feu et "parce que ça ne craint rien", oublient parfois que les rues sont aussi des lieux de résidence, de vie et de circulation piétonne et cycle. Il est évident que notre police municipale, qui s’occupe désormais efficacement de deux communes, et la gendarmerie ne peuvent être derrière chaque intersections et que les radars pédagogiques ne suffisent malheureusement pas toujours. Dès lors, des aménagements seraient souvent nécessaires pour permettre un meilleur partage de la route et garantir sécurité et tranquillité aux riverains. Nous demandons, notamment aux abords des écoles, qu’un effort significatif soit fait pour que cette volonté, partagée, nous l’imaginons, par les élus de la majorité, se traduise au-delà des mots. Si la Métropole est compétente sur l’aménagement des voiries, la commune et le maire gardent les pouvoirs de police ainsi que la capacité à obtenir et à financer des équipements supplémentaires. Il s’agit d’un sujet essentiel sur
lequel beaucoup nous interpellent, nous devons le prendre en main sérieusement et y répondre.
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